Ayant hérité d’un bâtiment ministériel en lambeau après ses prises de fonctions officielles, le ministre des Relations avec le Parlement, Justin Bitakwira Bihona-Hayi Justin s’est mis tout de suite au travail. Le nouveau ministre n’a rien trouvé de son prédécesseur. Tout a été vidé : meubles, chaises, climatisation, tubes incandescents, toilettes bouchées, prises emportées etc.

A la lumière de son administration, le nouveau locataire du ministère des Relations avec le Parlement n’a cessé de le rappeler à qui veut l’entendre : « Placer l’homme dans les conditions favorables est à même de produire un travail de qualité ». Ceci dit, à ses yeux, seules les qualités intrinsèques qui importent. Autrement dit, c’est l’environnement de travail qui détermine les potentialités de tout être humain. Tel est le leitmotiv de redonner de la valeur à son ministère, parmi ceux dits, de souveraineté.

C’est dans cette perspective qu’il compte mettre les membres de son cabinet, mais aussi, ceux de son administration centrale, dans les meilleures conditions de travail et de, par les travaux de réhabilitation du bâtiment de son ministère, bien qu’hérité dans les conditions que tout le monde sait.

Il ne suffit pas seulement de chanter, de fredonner les mélodies dans le sens de caresser les cheveux du Chef de l’Etat, mais poser des actions en faveur du bien-être social. La réfection du ministère des Relations avec le Parlement est le cadet de souci du ministre BitakwiraBihona-Hayi Justin, en ce qu’il compte laisser de traces indélébiles à ce ministre, aussi à son administration.

« Il faut qu’on parle en bien de nous ! Que nous avons été pour quelque chose de positif dans ce pays. Personne n’est indispensable, tout le monde doit contribuer au développement de ce pays. C’est notre patrimoine commun et personne n’a le droit de le sacrifier sur l’autel de malheur », n’a-t-il cessé de le dire.

De la couleur blanche pale à celle de pierre de France, le Ministère des Relations avec le Parlement revêt une autre peau, à la dimension de responsabilités et prérogatives du ministère de souveraineté. Une façon d’impulser les autres ministères se trouvant dans la même catégorie que celui du ministre, en prouvant à la face du monde, que le gouvernement Samy Badibanga est là pour travailler conformément à la feuille de route du Gouvernement.

Cette manière de faire les choses prouve une fois de plus son appartenance à la race des hommes conscients, comme le témoigne la dénomination de son parti politique : Alliance pour la République et la Conscience Nationale (ARCN). C’est de ces hommes dont la République a besoin, conscient des responsabilités qui sont les leurs. Il est évident, que l’actuel locataire du Ministère des Relations avec le Parlement n’est pas éternel à ce poste, là où, il va se limiter, son successeur pourra assurer la continuité de l’affaire d’Etat dans l’intérêt suprême de la République. La « Conscience », est le vecteur du développement. Sans elle, l’homme est assimilé aux animaux. Ces derniers, la République n’en a pas besoin. C’est de cette impulsion d’accompagner les actions du Chef de l’Etat dont on a besoin dans la refondation des valeurs républicaines, mais aussi de renouvellement de la classe politique, et Bitakwira Justin s’inscrit dans cette logique.